Artiste peintre Landraud
Comme un oiseau s’égare
Au vent de mai
Incertain et solitaire
S’effilochant aux plis de l’univers
Ton cœur bat si fort
Dans ton errance singulière,
Que j’entends son écho
Battre les contreforts inéluctables
Des « îles impossibles»
L’orage s’empresse de cueillir à ton arbre
les désirs que libère la terre nue
Mirages désinvoltes
Aux confins de l’inaccessible…
Théa
25 février 2010
Au vent de mai
Incertain et solitaire
S’effilochant aux plis de l’univers
Ton cœur bat si fort
Dans ton errance singulière,
Que j’entends son écho
Battre les contreforts inéluctables
Des « îles impossibles»
L’orage s’empresse de cueillir à ton arbre
les désirs que libère la terre nue
Mirages désinvoltes
Aux confins de l’inaccessible…
Théa
25 février 2010
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire