Vous qui êtes mon ami
Qui me comblez plus que mes nuits
Êtes le miel de ma vie
Prenez mes lèvres je vous en prie
Je vous les offre dans un murmure
Où se faufilent des mots d'amour
Je vous les offre comme un bouquet
Où se cachent de doux baisers
Vous me donnez votre amitié
Comme une épaule où s’appuyer
Je vous rend grâce comme on se tait
Dans le silence et le secret
Si les voyages vous emportent
Trop loin de moi et sans compter
Les jours qui passent me ramènent
Tout près de vous à chaque fois
La pluie qui cogne à mes fenêtres
Dans le silence et les regrets
Se mêle bien je vous l’accorde
À des chagrins de collégiens
Mais la tendresse que je vous porte
Dresse la table, et vous convie
Le vin peut être nous donnera
L’envie d’aller dessous les draps
Allons je cesse de plaisanter
Vous savez bien mon tendre ami
Que le projet qui nous unit
Se vit à l'ombre de l'amitié
Théa
Bélesbat, 22 octobre 2009
Qui me comblez plus que mes nuits
Êtes le miel de ma vie
Prenez mes lèvres je vous en prie
Je vous les offre dans un murmure
Où se faufilent des mots d'amour
Je vous les offre comme un bouquet
Où se cachent de doux baisers
Vous me donnez votre amitié
Comme une épaule où s’appuyer
Je vous rend grâce comme on se tait
Dans le silence et le secret
Si les voyages vous emportent
Trop loin de moi et sans compter
Les jours qui passent me ramènent
Tout près de vous à chaque fois
La pluie qui cogne à mes fenêtres
Dans le silence et les regrets
Se mêle bien je vous l’accorde
À des chagrins de collégiens
Mais la tendresse que je vous porte
Dresse la table, et vous convie
Le vin peut être nous donnera
L’envie d’aller dessous les draps
Allons je cesse de plaisanter
Vous savez bien mon tendre ami
Que le projet qui nous unit
Se vit à l'ombre de l'amitié
Théa
Bélesbat, 22 octobre 2009