L’indicible beauté dépliait sa grand’ voile
Miroir argenté aux reflets fascinants
Le sable sous mes pas crissait sous la lune
L’aurore s’était tue dans le matin frissonnant
Le bonheur m’est venu du spectacle de la mer
Le vent avait pour moi l’épaule de l' amant
Et je gonflais inconsciemment ma chemise
Pour lui dévoiler tous mes charmes débordants
Je sentais sur mes joues la douceur de la brise
Et mon âme malgré moi dérivait tendrement
Le bonheur m’est venu du spectacle de la mer
J'ignorais le tracé du songe qui m'aspirait
Au rythme de mon cœur j'allais les pieds dans l'aube
Je voulais partager avec toi ce cadeau
D’une nuit qui se rêve et s'éteint doucement
Je voulais dans l'aurore faire danser tes pinceaux
Et t'offrir le spectacle du plus beau des tableaux
Miroir argenté aux reflets fascinants
Le sable sous mes pas crissait sous la lune
L’aurore s’était tue dans le matin frissonnant
Le bonheur m’est venu du spectacle de la mer
Le vent avait pour moi l’épaule de l' amant
Et je gonflais inconsciemment ma chemise
Pour lui dévoiler tous mes charmes débordants
Je sentais sur mes joues la douceur de la brise
Et mon âme malgré moi dérivait tendrement
Le bonheur m’est venu du spectacle de la mer
J'ignorais le tracé du songe qui m'aspirait
Au rythme de mon cœur j'allais les pieds dans l'aube
Je voulais partager avec toi ce cadeau
D’une nuit qui se rêve et s'éteint doucement
Je voulais dans l'aurore faire danser tes pinceaux
Et t'offrir le spectacle du plus beau des tableaux
Théa
Bélesbat 18 septembre 2010