Je vous sens si près
Si près que vous m’effeuillez l’âme
Tu devines tout
Ce que je vois à l’ombre de mon regard
Dans l’horizon bleuté des tendresses
Cherchant le rêve le plus fou
L’amour le plus doux
Toi sans doute
Je vous sens si loin
Quand je voudrais vous serrer contre moi
Mes doigts effleurent un visage
En transparence
Les images sont floues
Je ne vois qu’une ombre voyageuse
Et mouvante
Vous sans doute
Mais je sens si bien vos caresses
Quand je m’éveille
Un souffle avide fouille ma nuque
Mon corps se cambre et vibre
Sous des mains exercées
Et les feux du désir
Libèrent mes envies
Dans un débordement de plaisir
Le nôtre mon amour
Théa
Bélesbat, 27 septembre 2009
Si près que vous m’effeuillez l’âme
Tu devines tout
Ce que je vois à l’ombre de mon regard
Dans l’horizon bleuté des tendresses
Cherchant le rêve le plus fou
L’amour le plus doux
Toi sans doute
Je vous sens si loin
Quand je voudrais vous serrer contre moi
Mes doigts effleurent un visage
En transparence
Les images sont floues
Je ne vois qu’une ombre voyageuse
Et mouvante
Vous sans doute
Mais je sens si bien vos caresses
Quand je m’éveille
Un souffle avide fouille ma nuque
Mon corps se cambre et vibre
Sous des mains exercées
Et les feux du désir
Libèrent mes envies
Dans un débordement de plaisir
Le nôtre mon amour
Théa
Bélesbat, 27 septembre 2009