Le silence a eu raison de ma foi
Au creux du ravin
L’immortelle absence respire encore un peu
Juste ce qu’il faut
Pour que le givre de mes mains
Puissent la ranimer
Mes chagrins immuables
Se noient sur la vitre mouillée
où se répète l’instant magique
Inévitable envie d'images nécessaires
Le fond de moi-même
Se tapisse d'une suie enthousiaste
Plaide définitivement coupable
Piétine de peur l’impossible voyage
Le bout de la nuit sans doute
Devant moi l'ineffable lumière
Vibre de mes espoirs à repeupler le vide
Que la fête commence
Subtile éclat à mes délires
Qu'elle ignore à bout portant les indécis
Le silence se côtoie avec délice
Quand il appartient aux anges
Qui veillent au sommet des montagnes
Sur l’horizon défait
Des rêves irrésistibles
Théa
Bélesbat mai 2010
Au creux du ravin
L’immortelle absence respire encore un peu
Juste ce qu’il faut
Pour que le givre de mes mains
Puissent la ranimer
Mes chagrins immuables
Se noient sur la vitre mouillée
où se répète l’instant magique
Inévitable envie d'images nécessaires
Le fond de moi-même
Se tapisse d'une suie enthousiaste
Plaide définitivement coupable
Piétine de peur l’impossible voyage
Le bout de la nuit sans doute
Devant moi l'ineffable lumière
Vibre de mes espoirs à repeupler le vide
Que la fête commence
Subtile éclat à mes délires
Qu'elle ignore à bout portant les indécis
Le silence se côtoie avec délice
Quand il appartient aux anges
Qui veillent au sommet des montagnes
Sur l’horizon défait
Des rêves irrésistibles
©
Théa
Bélesbat mai 2010