Je vois dans la démesure du jour qui vient
Rebondir les folles années
Celle de l’enfance et de la joie
Quand devant soi la vie s’avance
Et que s'impose l'évidence
La nuit maintenant est tombée
Glaciale et sourde
Et sur le lit les draps tirés
Mélancolisent l’euphorie des amours
Demain quand tout sera blanc
La lumière ombrera la colline
Faisant pâlir les nues étonnées
Tu seras là
Assis sur le flot d'hésitations
Où je t’aurais tant attendu
Les cheveux blancs le regard vide
Tu me verras jouer avec le temps
A la corde de mon enfance
L’époque sera passée
De me serrer dans tes bras
Et le bruit que feront tes pas
Quand tu t’éloigneras
Étouffera ce cri terrifiant
Qui surgit indubitable
Du plus lointain de ma mémoire
quand je songe à toi
Théa
Bélesbat Février 2010
Rebondir les folles années
Celle de l’enfance et de la joie
Quand devant soi la vie s’avance
Et que s'impose l'évidence
La nuit maintenant est tombée
Glaciale et sourde
Et sur le lit les draps tirés
Mélancolisent l’euphorie des amours
Demain quand tout sera blanc
La lumière ombrera la colline
Faisant pâlir les nues étonnées
Tu seras là
Assis sur le flot d'hésitations
Où je t’aurais tant attendu
Les cheveux blancs le regard vide
Tu me verras jouer avec le temps
A la corde de mon enfance
L’époque sera passée
De me serrer dans tes bras
Et le bruit que feront tes pas
Quand tu t’éloigneras
Étouffera ce cri terrifiant
Qui surgit indubitable
Du plus lointain de ma mémoire
quand je songe à toi
Théa
Bélesbat Février 2010
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