Un jour la terre ne sera qu'un vaste cimetière,
Où seul le silence bercera les absents...
Où seul le silence bercera les absents...
Et il y eut la terre...
Vaste jardin prospère
Insouciante et offerte aux regards attentifs
L’onde rassurait les rivages déserts
Où l'homme vivait en confiance
La pluie abreuvait la dune laborieuse
Que la mer effleurait sans détruire
Le ciel fleurissait d'étoiles millénaires
la couleur des nuits bleues
la planète était libre
Étourdie par l'oxygène des forêts
et l'on cultivait sur des terres inconnues
L'art de vivre heureux
L’indéfectible planète blanche
affectait un mutisme grandiose
la glace était tenace
Et les rêves harmonieux
Il y avait de l’espoir
Dans l’aube généreuse
les hommes rêvaient sans autres profits
De voir s’endormir la terre en beauté
A l’ombre du crépuscule
juste veillée par l’infini du temps
Sans méfiance aucune
Des hommes avides et ignorants.
Un jour pourtant la terre fut en colère
et grondant soudainement anéantit ses habitants
les enfant aussi furent anéantis
Théa
Haïti janvier 2010
Vaste jardin prospère
Insouciante et offerte aux regards attentifs
L’onde rassurait les rivages déserts
Où l'homme vivait en confiance
La pluie abreuvait la dune laborieuse
Que la mer effleurait sans détruire
Le ciel fleurissait d'étoiles millénaires
la couleur des nuits bleues
la planète était libre
Étourdie par l'oxygène des forêts
et l'on cultivait sur des terres inconnues
L'art de vivre heureux
L’indéfectible planète blanche
affectait un mutisme grandiose
la glace était tenace
Et les rêves harmonieux
Il y avait de l’espoir
Dans l’aube généreuse
les hommes rêvaient sans autres profits
De voir s’endormir la terre en beauté
A l’ombre du crépuscule
juste veillée par l’infini du temps
Sans méfiance aucune
Des hommes avides et ignorants.
Un jour pourtant la terre fut en colère
et grondant soudainement anéantit ses habitants
les enfant aussi furent anéantis
Théa
Haïti janvier 2010
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