vendredi 17 octobre 2008

Tendresses



La nuit s'est éteinte
L'aurore s'envole dans les étreintes du jour
Et je m'éveille sans amours
Pour éclairer les remparts des mes tours

Mais les mots dans ma tête tournent et se répètent
Ces mots que vous m'avez dit
Dans le flou de la vie
Ils m'emportent si loin de mes mélancolies

Peut être pourriez vous mon doux ami
Me dire une autre fois
Ce mot qui m'étonne et sans cesse résonne
Dans le vide de mon cœur
Juste un mot magique pour que ma vie sourit
Sèche mes larmes d'envie

J'ai ouvert la fenêtre
Pour voir passer les ombres
Qui dansent et me caressent dans la pénombre
Et j'ai lu dans l'aube qui blanchit
En lettres d'un bleu pléthorique
Ce mot fantastique...

Tendresses

-
Théa
8 octobre 2008

Aucun commentaire: