Voilà revenu le bonheur
Celui des jours de joie et d’apaisement
L’amitié douce refleurit
Sur les allées de mes jardins
Et je respire à nouveau ses parfums
La pluie ricochait si fort
Sur les murs délavés
Que je n’ai pas entendu vos pas
S’approcher doucement près de moi
L’hiver ne sera pas de glace
Les mimosas refleurissent déjà
Et votre sourire résonne encore
Du bruit que fait notre joie
Votre voyage fut si long
Malgré quelques provisions
Je venais à manquer de raison
Mon âme s’étiolait sans vous voir
J’aime que vous laissiez vos doigts
Dessiner sur ma joue ce tendre baiser
Que vous me donnez
A chaque fois que vous passez
Le feu attise mes désirs
Et je déroge le rythme des saisons
Pour que les berges fragiles du fleuve
Voient fleurir des cailloux
Jusqu’à la porte de la maison
Théa
Bélesbat janvier 2010
Celui des jours de joie et d’apaisement
L’amitié douce refleurit
Sur les allées de mes jardins
Et je respire à nouveau ses parfums
La pluie ricochait si fort
Sur les murs délavés
Que je n’ai pas entendu vos pas
S’approcher doucement près de moi
L’hiver ne sera pas de glace
Les mimosas refleurissent déjà
Et votre sourire résonne encore
Du bruit que fait notre joie
Votre voyage fut si long
Malgré quelques provisions
Je venais à manquer de raison
Mon âme s’étiolait sans vous voir
J’aime que vous laissiez vos doigts
Dessiner sur ma joue ce tendre baiser
Que vous me donnez
A chaque fois que vous passez
Le feu attise mes désirs
Et je déroge le rythme des saisons
Pour que les berges fragiles du fleuve
Voient fleurir des cailloux
Jusqu’à la porte de la maison
Théa
Bélesbat janvier 2010
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