J’ai tant pleuré que je ne sais plus
Si la mer est le trop plein de mes larmes
Ou si le soleil darde si fort
Qu'il veut assécher son vacarme
La nuit s’achève gourde et sans joie
Et le jour déploie déjà ses exploits
Dois-je fermer à jamais ces yeux bien trop bleus
Et laisser dériver des chagrins ambitieux
Tant de désespoirs impunis
Tant de regrets galvaudés
La mer brasse aujourd'hui des gestes disloqués
Et je regarde assoiffée de voyages
Quelques oiseaux qui jouent sur la plage
Faut-il tant de naïveté
Pour enfin croire au message
Demain sera trop tard
Le temps passe et ne prend garde à mes pieds
Je reste là solitaire
Perdue dans mes délires
Brûlant mes derniers rêves
J’attends avide un geste d’apaisement
La vie s’abstient quand le trottoir est désert
Et la tendresse bien trop fière
Pour penser s’arrêter
Le courage me manque
Pour repartir la chercher
Théa
Bélesbat 10 avril 2010
Si la mer est le trop plein de mes larmes
Ou si le soleil darde si fort
Qu'il veut assécher son vacarme
La nuit s’achève gourde et sans joie
Et le jour déploie déjà ses exploits
Dois-je fermer à jamais ces yeux bien trop bleus
Et laisser dériver des chagrins ambitieux
Tant de désespoirs impunis
Tant de regrets galvaudés
La mer brasse aujourd'hui des gestes disloqués
Et je regarde assoiffée de voyages
Quelques oiseaux qui jouent sur la plage
Faut-il tant de naïveté
Pour enfin croire au message
Demain sera trop tard
Le temps passe et ne prend garde à mes pieds
Je reste là solitaire
Perdue dans mes délires
Brûlant mes derniers rêves
J’attends avide un geste d’apaisement
La vie s’abstient quand le trottoir est désert
Et la tendresse bien trop fière
Pour penser s’arrêter
Le courage me manque
Pour repartir la chercher
Théa
Bélesbat 10 avril 2010
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