Quand la terre hurle
Un puits se gonfle et déborde
Et j’ai sur les lèvres un goût de cendre
Ne leurs dites rien ils sont sourds
Et leur parler serait péché
La clameur détruira l’imposture
et les fruits défendus attendront
Dans l'embrasure des portes
Les villes auront l’éclat de la désespérance
Quand elle se couche dans leurs yeux
Laissons le silence repeindre les murs
Je vomis des rêves bleus sans espoir
Essayons que la terre soit autre
Simplement parce que demain
Nous lui appartiendrons...
Théa
Bélesbat juin 2010
Un puits se gonfle et déborde
Et j’ai sur les lèvres un goût de cendre
Ne leurs dites rien ils sont sourds
Et leur parler serait péché
La clameur détruira l’imposture
et les fruits défendus attendront
Dans l'embrasure des portes
Les villes auront l’éclat de la désespérance
Quand elle se couche dans leurs yeux
Laissons le silence repeindre les murs
Je vomis des rêves bleus sans espoir
Essayons que la terre soit autre
Simplement parce que demain
Nous lui appartiendrons...
Théa
Bélesbat juin 2010
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