S'il n'y avait rien que le vide
Si l'amour n'était que du vent
Simple souffle sous les caresses du désir
Néant le plus dense
Autour d'une crédule attirance
Si nos âmes en transparence
Savaient l'impudence des gestes
Sous l'assèchement des cœurs
Que deviendrait le sentiment du bonheur
Les cauchemars s'entremêlent
Dans les nuits d'insomnies
Sur les berges du fleuve
Rode la mélancolie
Les feuilles d'automne se balancent
Dans la désespérance
Et le sable sous mes pas
Crisse dans le vide - Une autre fois
-
Théa
Septembre 2008
Virgule
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