C’est dans l’abandon le plus profond
Que mon cœur dérive entre les larmes
Et le souvenir des sourires
Qu’on a offerts avec plaisir
Quand la brise murmure à mon oreille
Les arbres perdent une à une les feuilles
Qui virevoltent dans l’air
Avant de se coucher sur le sol
Ainsi s’ébruite ma peine
Elle danse sur un rythme d’absence
Entre ru et fleuve
Et mon âme sans escorte supplie
Les poings serrés
Ma tête jetée contre les murs gris
C'est sans doute la fin d'une histoire
Que mon âme déplore
Les oiseaux déploient dans les arbres
Une vitalité émouvante
Est-ce de vivre en s’oubliant
Qui nous fait rêver du printemps
Théa
Bélesbat 26 octobre 2010
Que mon cœur dérive entre les larmes
Et le souvenir des sourires
Qu’on a offerts avec plaisir
Quand la brise murmure à mon oreille
Les arbres perdent une à une les feuilles
Qui virevoltent dans l’air
Avant de se coucher sur le sol
Ainsi s’ébruite ma peine
Elle danse sur un rythme d’absence
Entre ru et fleuve
Et mon âme sans escorte supplie
Les poings serrés
Ma tête jetée contre les murs gris
C'est sans doute la fin d'une histoire
Que mon âme déplore
Les oiseaux déploient dans les arbres
Une vitalité émouvante
Est-ce de vivre en s’oubliant
Qui nous fait rêver du printemps
Théa
Bélesbat 26 octobre 2010
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