Que pouvez vous connaître de ma pensée
Pauvre diable rôtisseur d’âmes grises
Vous ne serez jamais que poète maudit
Trébuchant sur des rimes
Vous nourrissant avec excès d’une encre cruelle
Pauvre diable rôtisseur d’âmes grises
Vous ne serez jamais que poète maudit
Trébuchant sur des rimes
Vous nourrissant avec excès d’une encre cruelle
Vos paroles sur terre sont prohibées
Et les fétides sentines débordent
Et les fétides sentines débordent
Les médisances m’indiffèrent
Les sarcasmes glissent sur moi
Comme le sable dans la mer
Passez votre chemin pitoyable Lucifer
vos desseins ne seront jamais miens
Ne soyez pas chagrin si nos sources diffèrent
Votre esprit n’a d’égal que votre âme déshonnête
Et votre cœur en absence ne plaide pas honnête
Vampire assoiffé de sang
Vos mains râpeuses et putrides
Raturent le poli de nos vers
Oubliez notre terre si belle
Les sarcasmes glissent sur moi
Comme le sable dans la mer
Passez votre chemin pitoyable Lucifer
vos desseins ne seront jamais miens
Ne soyez pas chagrin si nos sources diffèrent
Votre esprit n’a d’égal que votre âme déshonnête
Et votre cœur en absence ne plaide pas honnête
Vampire assoiffé de sang
Vos mains râpeuses et putrides
Raturent le poli de nos vers
Oubliez notre terre si belle
Retournez aux enfers
Où vos semblables vous espèrent
Adieu flambeur machiavélique
Où vos semblables vous espèrent
Adieu flambeur machiavélique
Plus Jamais sur ma route
Je ne veux voir l’ombre mythique
De votre queue ridicule et famélique
De votre queue ridicule et famélique
Théa
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