Parfois des oies sauvages
Se posent sur le sommet du vent
Pour veiller sur Elle
Éperdue d'amour pour l'invisible
Égarée dans les profondeurs des ténèbres
Elle attend la fonte des neige
Pour regagner la vallée
Elle lira le livre des nuages avant de mourir un peu
Et déposera sous l'oreiller
Celui que lui a offert le silence
Le regard vide Elle l’apercevra
Dans la transparence des images
De l'autre côté du fleuve
Berçant les ombres avant de disparaître
Le gué lui permettra sans doute
De le rejoindre plu tard
Lorsqu’elle aura séché ses larmes
et que les contours du jour auront disparu
Pour laisser le crépuscule libérer sa pensée
L’aube qui se lèvera demain
Lui portera peut être les mots qu'elle attend...
Apaisée l'espérance apprivoisée
elle se reposera désormais contre ses rêves
abandonnée libre
Théa
Belesbat 8 mai 2010
Se posent sur le sommet du vent
Pour veiller sur Elle
Éperdue d'amour pour l'invisible
Égarée dans les profondeurs des ténèbres
Elle attend la fonte des neige
Pour regagner la vallée
Elle lira le livre des nuages avant de mourir un peu
Et déposera sous l'oreiller
Celui que lui a offert le silence
Le regard vide Elle l’apercevra
Dans la transparence des images
De l'autre côté du fleuve
Berçant les ombres avant de disparaître
Le gué lui permettra sans doute
De le rejoindre plu tard
Lorsqu’elle aura séché ses larmes
et que les contours du jour auront disparu
Pour laisser le crépuscule libérer sa pensée
L’aube qui se lèvera demain
Lui portera peut être les mots qu'elle attend...
Apaisée l'espérance apprivoisée
elle se reposera désormais contre ses rêves
abandonnée libre
Théa
Belesbat 8 mai 2010
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