Edith Van Opsta
Elle s'est assoupie un moment
Rêvant de partage
et de la douceur de ses yeux
Lasse elle a replié ses ailes
S'abritant sous les nuages
Venus ourler ses espérances
Demain quand le jour se lèvera
Elle oubliera l' ombre
Venues dissimuler ses jardins
Et d’incessants battements d’ailes
La feront s’envoler sur l’autre rivage
Celui des images transparentes
Des recours impossible
Et de la tendresse oubliée
Toi tu refermeras la porte
Heureux de l’avoir connue
Et tu retourneras dans ton silence
Bercer tes souvenirs au creux de toi-même
Dessinant dans le temps qui s’écoule
L’esquisse d’une ingénue
Venue butiner
Dans l’entrebâillement d’une vie
Théa
Bélesbat 5 mai 2010
2 commentaires:
magnifique Théo...j'aime ..c'est doux leger ...tellement comme ça...
Clo plaisir de te voir passer par là
merci aussi de nous faire partager ton talent.
Belle journée
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