Le brouillard pénètre par la fenêtre
Et cotonne l’imperméabilité de l'espace
où se déploient des milliers d’absents
Attendant le départ
Je t’entends rire
Et je perçois le signe vivant
D’un espoir couché sur le flanc
qui imperceptiblement
Se redresse au passage du vent
Quelques fleurs sur la table
espèrent l’infini d’un regard
Un geste dans le silence
Qui hésite et se pose sur une épaule
Ta main est couchée sur la page
Tes yeux dévorent la vitre
A travers laquelle tu devines
le fantôme blafard de la tendresse
Sur le mur du temps
Sont dessinés les premières images
De ce voyage à venir
Sur les terres vierges de l’amour
Théa
19 novembre 2011
Et cotonne l’imperméabilité de l'espace
où se déploient des milliers d’absents
Attendant le départ
Je t’entends rire
Et je perçois le signe vivant
D’un espoir couché sur le flanc
qui imperceptiblement
Se redresse au passage du vent
Quelques fleurs sur la table
espèrent l’infini d’un regard
Un geste dans le silence
Qui hésite et se pose sur une épaule
Ta main est couchée sur la page
Tes yeux dévorent la vitre
A travers laquelle tu devines
le fantôme blafard de la tendresse
Sur le mur du temps
Sont dessinés les premières images
De ce voyage à venir
Sur les terres vierges de l’amour
Théa
19 novembre 2011
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire