La tristesse fait trembler de peur la vie
Qui fuit devant moi
Sans attendre que mon cœur s’apaise
Au moindre bruit
à la moindre chute il se replie
quand l’autre se méprend
au tournant du voyage
L’automne aussi doux
qu’un réceptacle de rose
joue avec les nerfs de l’hiver
qui attend son tour
Désespéré de voir s’embellir
Sous les frimas
le chemin désert de l’amour
Tu attends encore de prendre ton bâton
pour faire le voyage
qui nous sauvera de l’oubli
et le jardin s’étonne
de ne pas voir se dessiner ta silhouette
dans l’allée que les feuilles
tapissent d’or et de miel
Un jour viendra
où le vent d’hiver te portera
les signes d’une autre saison
et tu seras étonné de voir s’épanouir
en plein désert
une oasis sur ton chemin
Théa
18 novembre 2011
Qui fuit devant moi
Sans attendre que mon cœur s’apaise
Au moindre bruit
à la moindre chute il se replie
quand l’autre se méprend
au tournant du voyage
L’automne aussi doux
qu’un réceptacle de rose
joue avec les nerfs de l’hiver
qui attend son tour
Désespéré de voir s’embellir
Sous les frimas
le chemin désert de l’amour
Tu attends encore de prendre ton bâton
pour faire le voyage
qui nous sauvera de l’oubli
et le jardin s’étonne
de ne pas voir se dessiner ta silhouette
dans l’allée que les feuilles
tapissent d’or et de miel
Un jour viendra
où le vent d’hiver te portera
les signes d’une autre saison
et tu seras étonné de voir s’épanouir
en plein désert
une oasis sur ton chemin
Théa
18 novembre 2011
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