Anonyme
Vois chaque aurore
Essuyer une larme
Avant le lever du jour
Le silence étreint mon souffle
L’oubli comprime ma gorge
Ne reviens plus jamais
Cueillir des étoiles au fond de mes yeux
Ne reviens plus
Voler la lumière
Dans mon ciel amoureux
Je garde pour l’océan fougueux
La pâleur de mon visage
Mes regards éperdus dépouillant l’horizon
Le vent s’est calmé
Et je me suis assise sur la dune
Pour écouter sa chanson
Lui confiant en secret
La fin d'une histoire
Cueillie dans l'éclat d'une saison
©
Théa Casamance
Bélesbat 22 Novembre 2010
2 commentaires:
Un passage et une halte... ta poésie
par cette force qui voile la faiblesse nous donne envie d'aimer envers et contre tout.
Un petit coucou de Lili Bellule.
plaisir Libellule de te voir partager mes mots
Enregistrer un commentaire