Parfois lors de sombres déconvenues
L'esprit se dissout
Dans les eaux troubles et perverses
Les ventres s’entrouvrent
Laissent échapper de viles morsures
Partir vers d’autres rives
D’autres souffles d’autres voyages
Quand la souffrance est trop forte
Que les déserts se peuplent de tant oublis
D’incestueux mépris
De regards brisés de vies broyées
Les étoiles perdent leur visage
Reprendre alors des forces
A la source des armes inattendues
Quand les soleils pleurent
De justes larmes sur les cœurs épris
Que les cris ne cessent aux portes de l’envie
Quand il faut se taire
Pour que la lumière s’épanche
Emporter avec soi un morceau de ciel
Et attendre le lever du jour.
Théa
Bélesbat 4 septembre 2010
L'esprit se dissout
Dans les eaux troubles et perverses
Les ventres s’entrouvrent
Laissent échapper de viles morsures
Partir vers d’autres rives
D’autres souffles d’autres voyages
Quand la souffrance est trop forte
Que les déserts se peuplent de tant oublis
D’incestueux mépris
De regards brisés de vies broyées
Les étoiles perdent leur visage
Reprendre alors des forces
A la source des armes inattendues
Quand les soleils pleurent
De justes larmes sur les cœurs épris
Que les cris ne cessent aux portes de l’envie
Quand il faut se taire
Pour que la lumière s’épanche
Emporter avec soi un morceau de ciel
Et attendre le lever du jour.
Théa
Bélesbat 4 septembre 2010
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