Ah ce vent des ombres
Qui gifle la terre abusée
Cette pluie de cendre qui fait crisser la mer
Sur les rochers hagards
Ne plus vivre ces tempêtes
Capricieuses et stériles
Ne plus aimer
Ne plus geindre des composts de chagrin
Vivre
En terre vierge
Sur des pensées endormies
Quand la certitude veille
Sur un rai d’espérance qu’on apprivoise
La nuit s’essouffle
Et mes yeux lourds de peine
Inondent le matin d’un ruisseau sibyllin
Au bord d’une tendresse
Qu’infiltre l’amertume
L’aube s’installe dans la candeur
D’un jour sans teintes
Regards intimes au fond des âmes
Pour deviner l’absolu des cœurs avides
Chercher dans l'aurore
les dernières lueurs pour danser
Sur le rythme endiablé d’une provocation
Qui invite à un sursaut de vie
Qui gifle la terre abusée
Cette pluie de cendre qui fait crisser la mer
Sur les rochers hagards
Ne plus vivre ces tempêtes
Capricieuses et stériles
Ne plus aimer
Ne plus geindre des composts de chagrin
Vivre
En terre vierge
Sur des pensées endormies
Quand la certitude veille
Sur un rai d’espérance qu’on apprivoise
La nuit s’essouffle
Et mes yeux lourds de peine
Inondent le matin d’un ruisseau sibyllin
Au bord d’une tendresse
Qu’infiltre l’amertume
L’aube s’installe dans la candeur
D’un jour sans teintes
Regards intimes au fond des âmes
Pour deviner l’absolu des cœurs avides
Chercher dans l'aurore
les dernières lueurs pour danser
Sur le rythme endiablé d’une provocation
Qui invite à un sursaut de vie
Théa
Bélesbat 15 septembre 2010
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