Le soleil sur la mer
Une épave vers l’infini
le regard se perd
Dans le pli de l’horizon
Si bleu
Merveilleusement bleu
Le soleil sur la mer
Trop beau trop vrai
Et ce jour qui pleure
De ne plus voir les éclats d'or
illuminer ses yeux
L’absence s’installe impassible
Jetant aux loups
La tristesse qui m'oblige
Le sable blond me fait un lit de chaleur
Où je me couche
Et où je m'endors
Lovée dans la douceur de ses bras
Abandonnée aux caresses
Oubliant un instant ce bonheur
Qui voyage au bruit de son cœur
Et tournoie dans l’espace
Au dessus du mien
Théa
Bélesbat 16 aout 2010
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