Tes bras encore
Et l'éclat de tes yeux sur le ciel déployé
Qui s'irise à l'heure de midi
Émerveillement d'un lit de nuages
qui se posent dans la clarté d'été
Miracle d'une envie d'aimer
Tes bras toujours
Pour exterminer les chagrins
Alors que l'arbre se tend
Dans les matins livides
A la lumière tendre du jour
Un peu de la douceur de ce cœur
Fragile et fier
Qui pleure en regardant la mer
Cueillant au fil de l’eau
Le reflet d’une étoile filante
Pour embellir les mots
Toi surtout
Assis à l’ombre des arbres morts
Dans la sécheresse d’un été brûlant
Toi enfin sur le bord de ma porte
Écoutant le bruit que fait mon cœur
Quand la nuit est là
Et que je m'endors
les yeux gorgés de tes caresses
Théa
Bélesbat 14 août 2010
Et l'éclat de tes yeux sur le ciel déployé
Qui s'irise à l'heure de midi
Émerveillement d'un lit de nuages
qui se posent dans la clarté d'été
Miracle d'une envie d'aimer
Tes bras toujours
Pour exterminer les chagrins
Alors que l'arbre se tend
Dans les matins livides
A la lumière tendre du jour
Un peu de la douceur de ce cœur
Fragile et fier
Qui pleure en regardant la mer
Cueillant au fil de l’eau
Le reflet d’une étoile filante
Pour embellir les mots
Toi surtout
Assis à l’ombre des arbres morts
Dans la sécheresse d’un été brûlant
Toi enfin sur le bord de ma porte
Écoutant le bruit que fait mon cœur
Quand la nuit est là
Et que je m'endors
les yeux gorgés de tes caresses
Théa
Bélesbat 14 août 2010
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