Je vais perdue
Au plus loin des déserts qui m'aveuglent
Et ne perçois de lumière
Qu'au regard d'une image
Qui fulmine dans l'ombre
La nuit a recouvert tous mes rêves
L'horizon s’est teinté de mes désespérances
À genoux
Sous les rugissements des chagrins
J'invective le ciel
En limite d'absurde
Et l'univers entier dont je suis l’étincelle
Me porte en écho
Une larme de toi
-
Théa
21 avril 2008
3 commentaires:
La nuit s'attarde
Les ombres flânent
Que les lueurs de l'aube
Ravivent ton cœur
RP
Touchée Rebrousse-poil..en plein coeur...
à bientôt..
Théo
Seule compagne de ta solitude...une larme de...en écho.
Court poème plein de charme ma chère Théo.
Cela me fait penser à une supplique.
Lotus
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