La nuit s’est enroulée à mes pieds
Les rêves calfeutrés
Sous le regard discret des étoiles
Et je me demande bien
Pourquoi je m’interroge encore
Sur les couleurs de l’aube
Et le souffle du vent
Qui court comme un fou sur la plage
Puisque ce sont les effluves du thym
Et de la menthe sauvage
Qui caressent mon visage
Alors que je m’endors épuisée
Dans les contreforts du jours
La main posée sur ta joue
Il suffit à mon cœur si peu de chose
Pour qu’il se réchauffe un peu
Juste quelques mots en voyage
Qui se pose incidemment sur le gris de la vie
Et me laisse en oubli...
Ces quelques lignes sur la page
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Théa
29 octobre 2008
3 commentaires:
Bravo !
Rebrousse poil merci de votre commentaire au plaisir de vous voir sur mes mots
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