Cette enfant qui dort
Au creux d’un nuage
Bercée par le paisible ronronnement
De la respiration de sa mère
Premiers pas de la mémoire
Caressée par le souffle de la tendresse
Baisers si doux
Posés sur sa peau de velours
Cette enfant là
Fragile dans son berceau
Nous rend l’âme si belle
Gorgée d’intimidements
Et de bouleversements
Qu’elle déborde de compliments
Devant cette merveille
Qui sommeille
Loin de l’agitation suscitée autour d’elle
Notre ange lui
Blottie aux bords des rêves
Soupire
Sous l’œil attentif des fées
©
Théa Casamance
La grange 6 août 2008
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