Ne plus attendre qu’une main vous retienne
Ne plus
espérer que la vie vous entraine
Jeter au
loin ce qui vous reste d’envie
On est
parfois si triste qu’on voudrait en finir
Est-ce
renoncer que d’écouter la nuit
Le silence
souvent murmure à l’oreille
Des mots
si violents sans nul autre pareil
Est-ce
pêcher que de le reconnaitre
Parfois pourtant il vous parle en ami
Vous dis des mots doux qui vous retiennent
Juste écouter le vent entre les branches
L’oiseau de
nuit quitter son nid dans un cri
Prendre le temps avant de s’endormir
D’ouvrir en grand
les fenêtres du cœur
Laisser
la lumière chaude vous envahir
La paix
doucement viendra vous accueillir
©
Théa
Casamance
Ailleurs 15
octobre 2018
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