Les mots sont inutiles
Ils ne servent qu’à soulager nos
maux
A crier plus fort que la
souffrance
Quand elle nous vrille le corps
Seul le silence nous accompagne
Seul le silence nous accompagne
Au fond des forêts profondes
La lumière filtre entre
les branches
Surprend l’ombre des arbres au crépuscule
Nous invite à la rencontre
A la croisée des chemins
Mon cœur et mon esprit
Savent bien la beauté
Savent bien la beauté
Elle est la source où je m’abreuve
Elle réconforte et ne déçoit pas
Nul besoin de chercher il suffit de
regarder
Je veille chaque nuit près du feu
éteint
Qui grelotte dans ma tête
Consume mes idées jusqu’à l’épuisement
Et continue de jouer avec l’encre
Et la page blanche
Seule m’importe la paix
Laissée par l'éclatante lumière
Au carrefour des sentiers où je patiente
Certaine de t’apercevoir
Laissée par l'éclatante lumière
Au carrefour des sentiers où je patiente
Certaine de t’apercevoir
Et la joie de la rencontre
©
Théa Casamance
Ailleurs 28 octobre 2018
« Un rayon de soleil vaut tous les livres du monde »
Christian BOBIN
Christian BOBIN
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