La
solitude s’est installée
Insidieuse
permanente
Un
invité sournois
Vous
fait rageusement du pied
Le
désespoir
Vite très vite
Appeler les mots
La
tête devient fourmilière
On
provoque on se bouscule
Bientôt ils seront là
Tous
ces mots que je désire
Jolis
légers
Bienveillants
La plume court sur la feuille
Se projette
Les mots bavardent
Se
déchaînent
Le
soleil joue entre les feuilles
Les
oiseaux chantent
Une
chanson douce
Justement celle que je préfère
Vient le silence
Un
silence profond
Immense
Il
me fait du bien
Me
couvre de ressentis
Confortables bienveillants
Ecoutez le ce bavard
Comme
il raconte
Il
ne s’arrête plus
Demain
le jour se lèvera
Un
autre jour
Et je
sais que tu seras là
©
Théa
Casamance
21
novembre 2021
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