Construisons notre monde veux tu
Celui où les cheminements ressemblent
À d’étranges voyages paisibles
Celui qui nous conduit là où nous sommes
Là d’où nous venons particules d’infini
Lumière sensible au gré des ressemblances
Miroir où l’autre s’invite sans dissonances
Les lèvres entrouvertes suspendu au néant
Construisons le ce monde bleu
Image mouvante aux reflets fragiles
L’âme se glisse entre deux lames enlacées
Jusqu’à ces îles de chimères
Où l’amour renie l’étreinte éphémère
Nous comble et nous ravit
Nous fait oublier les incertitudes stériles
Les querelles pitoyables et inutiles
Construisons le ce monde ensemble
Au-delà du silence qui hurle
Sans échos sensibles à ton invitation
Juste ce petit cri et ta main sur la toile
Juste tes couleurs et tes pinceaux
Et ton âme sensible qui m’invite à regarder
Au-delà de moi-même ce que je cherche
Tenace et insatiable jusqu’ au bout du spectacle
Ivre de mots et de liberté
À d’étranges voyages paisibles
Celui qui nous conduit là où nous sommes
Là d’où nous venons particules d’infini
Lumière sensible au gré des ressemblances
Miroir où l’autre s’invite sans dissonances
Les lèvres entrouvertes suspendu au néant
Construisons le ce monde bleu
Image mouvante aux reflets fragiles
L’âme se glisse entre deux lames enlacées
Jusqu’à ces îles de chimères
Où l’amour renie l’étreinte éphémère
Nous comble et nous ravit
Nous fait oublier les incertitudes stériles
Les querelles pitoyables et inutiles
Construisons le ce monde ensemble
Au-delà du silence qui hurle
Sans échos sensibles à ton invitation
Juste ce petit cri et ta main sur la toile
Juste tes couleurs et tes pinceaux
Et ton âme sensible qui m’invite à regarder
Au-delà de moi-même ce que je cherche
Tenace et insatiable jusqu’ au bout du spectacle
Ivre de mots et de liberté
©
Théa Casamance
La Grange le 28 février 2016
La Grange le 28 février 2016
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