N’oublie jamais de te retourner
N’oublie jamais ce que tu as été
N’oublie jamais ce que tu as été
Dans l'éclat d’un automne en semailles
Les jours ont la rondeur d’un printemps
Que la nuit aurait oublié sur le parvis d’une église
Où l'ombre laisse à peine entrer la lumière
La mémoire a plissé les yeux
Où l'ombre laisse à peine entrer la lumière
La mémoire a plissé les yeux
Et a mis sa main en visière
Il est revenu souffler à son oreille
Une histoire sensible au gré des vagues
Attentive elle devine son murmure
Écoute émue le bruit des pierres
Écoute émue le bruit des pierres
Comme le chant d’un oiseau de nuit
A jamais figé dans le temps des miracles
Le bonheur n’enfouit pas le cri de l’oiseau
Demain sera encore bercé par la solitude
Même si le regard qui se pose
Suffit à lui faire perdre la tête
Suffit à lui faire perdre la tête
L’horizon se baigne paisible
Dans l'éblouissement matinal
Dites lui qu’il faut croire en ses rêves
Dites lui que son cœur trop fatigué d'errer
dans les chemins entrelacés
Se repose désormais dans une clairière
où l'attendait l'impossible
dans les chemins entrelacés
Se repose désormais dans une clairière
où l'attendait l'impossible
Dites lui qu'elle aime
et que dans la joie elle se souvient...
Théo
La Grange 30 octobre 2013
2 commentaires:
Un petit bonjour en passant. Je trouve tes poèmes toujours aussi tendres.
Lili Bellule
merci de ton passage...
J'espère que tu vas bien
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