Avoir l’infini du temps
Pour penser à toi
Et pour t’imaginer davantage
Avoir du temps devant de soi
Dans la campagne nue de l’hiver
Mes pensées sont ailleurs
L’année commence à peine
Et pour nous c’est le meilleur
Est-ce le printemps en hiver
Ce regard posé sur
moi
Est ce le vent
Qui pousse les nuages d’hier
Ou la lumière qui m’étourdit
Ma tête tourne un peu
Les étoiles une à une apparaissent
Dérident le ciel
Et me susurrent à l’oreille
Cette même ritournelle
Une page se tourne
Une histoire commence
Et si la nuit ce soir est incertaine
Dans le crépuscule bleu
Rêvons un peu tous les deux
Théa
Bélesbat 7 janvier 2013
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