J’écoute et n’entends
que le silence
Qui rit comme un
diable sous mes fenêtres
J’écoute et ne
perçois
Que les chants des
ombres dans la nuit
Que fais tu toi
que la vie accable
Sans que tu puisses
renaître
Que fais tu pour que
la lumière jaillisse
Sans
que l’obscurité t’atteigne
Pourquoi ne viens tu
pas
Refaire avec moi
Refaire avec moi
Ce monde infâme et
sans âme
Nos yeux savent l'envol de l'oiseau
Nos yeux savent l'envol de l'oiseau
J’irai marcher avec toi
Si tu veux
Le long des chemins sans voix
Respirer ce qui nous
ressemble
J’irai cueillir les mots
nécessaires
Pour libérer le flot
de nos doutes
Nul écho à mon
désespoir
La nuit ricane et je
flotte sans attache
Perdue au milieu des
apparats
D’une ville sans
histoires
©
Théa Casamance
Bélesbat 12 septembre
2012
2 commentaires:
Je vous connais depuis si longtemps déjà... Notre sensibilité est sensiblement senblable... Vous faites comme un peu partie de moi. Mes amitiés tendres Théa.
Il n'y a que " vous" pour me dire des mots si doux...que vous pour me connaître ainsi..Que vous pour accrocher des étoiles dans mes yeux...Vous aussi faites un peu partie de moi..Sourire
Amitiés tendres aussi...
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