Tu es
Le doigt de la main
Qui caresse la joue
Ce regard incertain
Sur des larmes qui sourdent
Tu es
La corne d’abondance
D’où s’écoule la vie
La voix que j'écoute
quand le jour s'est enfui
Tu es
Le brasier de mes nuits
Dans le froid de ma vie
La lumière qui vacille
Et apaise mes envies
Tu es
L'ineffable
Au sein des habitudes
L'inestimable
au creux des solitudes
Tu es
Cet obstacle
Qui me vient à l'esprit
Quand mon âme s’imagine
De quitter la vie
Tu es
Le soleil
Dans le jour qui s’ennuie
Ces mots que j’égrène
Jusqu’à l’infini
Théa
Bélesbat 2008
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire