L'aube d'une après midi d’été
L'ambre de la chambre veille
La respiration empreinte le pas
L'envie se dresse en un pic inévitable
Alors s'envole l'inhabitude de l'ange
Couleur de nacre
Une dernière fois
Les regards se superposent
Le temps supplie
Les paroles s’esquivent, inutiles
La vie se libère
Quitte son insoutenable cuirasse
Le rythme inaltérable des soupirs
Emprunte une danse lascive
Le corps vibre
Enfin, jusqu’à l’obstination
Théa
Bélesbat, 5 juillet 2009
L'ambre de la chambre veille
La respiration empreinte le pas
L'envie se dresse en un pic inévitable
Alors s'envole l'inhabitude de l'ange
Couleur de nacre
Une dernière fois
Les regards se superposent
Le temps supplie
Les paroles s’esquivent, inutiles
La vie se libère
Quitte son insoutenable cuirasse
Le rythme inaltérable des soupirs
Emprunte une danse lascive
Le corps vibre
Enfin, jusqu’à l’obstination
Théa
Bélesbat, 5 juillet 2009
2 commentaires:
De l'érotisme suggéré, Théo.
Il en ressort comme un parfum...
Inutile de te dire que j'ai aimé.
Lotus
Théo a des talents cachés...
Enregistrer un commentaire