Laissez moi vous dire ces mots d’amour
Qui m'étaient encore hier interdits
Ils se posent aujourd'hui sur mes lèvres
Comme des roses fraichement épanouies
Qui m'étaient encore hier interdits
Ils se posent aujourd'hui sur mes lèvres
Comme des roses fraichement épanouies
J'aime quand votre main prend la mienne
Pour m'éviter les cailloux du sentier
Quand elle me berce la nuit tombée
Alors que de votre chaleur je m’imprègne
De crainte d'oublier le goût de l’envie
Pour m'éviter les cailloux du sentier
Quand elle me berce la nuit tombée
Alors que de votre chaleur je m’imprègne
De crainte d'oublier le goût de l’envie
Savez vous la tendresse que j'ai pour vous
Quand je vous sais dans les les tourbillons de la vie
Les craintes qui m’assaillent
Chaque fois que vous traversez la rivière
Sans vous protéger du danger
Quand vous serez au fond de l’océan
Là où les anges flottent et vaguent
Légers et transparents
Penserez vous à remonter à la lumière
Elle réchauffera votre corps
Transi de froid
Allez rêver dans les jardins de la mer
Rejoignez l’indicible beauté
Peut-être croiserez vous mon âme qui erre
Cherchant cet autre, à sa survie nécessaire
Je vous attendrai assise sur mon nuage
Oubliant que vous êtes en voyage
Et vous retiendrai juste un instant
Celui d’un regard à transgresser l’ennui
Déposant dans mon cou ce baiser de tendresse
Qui galopera dans mes reins
Jusqu’au petit jour, du lendemain
Théa
Bélesbat, 10 juin 2009
2 commentaires:
Je pense ,en lisant ce poème, à celui où, assise sur un nuage, elle pense à lui...
Lotus:-)
où qu'elle soit Lotus...elle pense à lui...le temps n'a pas de prise sur l'amour qu'elle lui porte.
Théo
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